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‘Qui’ a du mal-être ?

Le moindre soupir, le mécontentement, la frustration, le stress, la peur et la douleur – voilà ce que le Bouddha appelle « dukkha ». Ce mot est dérivé de dush-stha (sanskrit), qui signifie littéralement « instable ». Tout comme une roue qui ne tourne pas correctement parce qu’une pièce est déformée.

« Il y a dukkha. »

C’est la première noble vérité que Bouddha a formulée dans son sermon inaugural. Il est essentiel de reconnaître et d’accepter ce fait. La plupart du temps, nous essayons à tout prix d’échapper au dukkha, de l’ignorer, de le cacher ou simplement de ne pas le voir. La première vérité est une observation, pas une déclaration pessimiste. Dans la troisième noble vérité, le Bouddha montre que les causes du dukkha – le désir et l’attachement – peuvent être éliminées. Il est donc possible de se réveiller de nos illusions.

Dans le Sutta du Kassapa ascète nu (SN 12.17, Acelakassapasutta), Kassapa demande au Bouddha qui est finalement à l’origine de la souffrance : nous-mêmes, autrui, les deux, ou bien est-elle sans cause ?

Dans cet enseignement audio, j’approfondis la réponse du Bouddha, dans laquelle il souligne à nouveau la voie du milieu : le pratītyasamutpāda (origine dépendante) avec ses douze maillons. C’est un bon moyen de comprendre comment la nature cyclique de notre vie nous maintient dans le saṃsāra.

À la fin, je propose plusieurs attitudes et pratiques qui peuvent nous aider à gérer le dukkha. Écoutez l’enseignement audio complet, essayez les pratiques proposées et découvrez comment réduire le poids du dukkha dans votre propre vie. 🎧✨

"Le zen c'est l'art de danser avec toutes les choses."

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